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Comment repérer les soft skills d’un candidat en entretien ?

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Aujourd’hui, dans le monde de l’emploi, les soft skills prennent une place de plus en plus importante. Contrairement aux compétences techniques spécifiques à un métier, elles regroupent des qualités interpersonnelles et des traits de personnalité comme la communication, l’empathie, la résolution de problèmes, le leadership et l’adaptabilité. Comment les repérer chez les candidats lors de vos recrutements ? On vous dit tout.

Collègue concentrée sur son ordinateur

Soft skills ou le facteur de performance le plus sous-coté

C’est un sujet qui fait couler beaucoup d’encre et pourtant, les soft skills restent encore trop souvent négligées dans de nombreuses entreprises. En effet, beaucoup d’organisations continuent de privilégier les compétences techniques, aussi appelées hard skills, lors du recrutement et de l’évaluation des performances.

On sous-estime l’impact que cela peut avoir. Un excellent technicien sans compétences en communication peut nuire à la collaboration en équipe, alors qu’un gestionnaire sans empathie peut provoquer une démotivation et un turnover élevé. Les entreprises qui ignorent les soft skills passent à côté de l’opportunité d’améliorer la cohésion de leurs équipes, de stimuler l’innovation et de fidéliser leurs talents.

Il est crucial de reconnaître et de valoriser les soft skills autant que les hard skills. Cela peut non seulement améliorer la culture organisationnelle d’une entreprise, mais aussi renforcer sa compétitivité et sa performance à long terme.

Quelle différence entre hard skills et soft skills ?

N’en déplaise aux inconditionnels de la langue française, les anglicismes sont encore de mise sur ce coup là. Sans traduction littérale de ces deux termes, on pourrait quand même dire :

  • Hard skills = compétences techniques
  • Soft skills = compétences comportementales

Elle sont complémentaires dans le monde du travail.

Les hard skills, ce sont les compétences concrètes et spécifiques que vous pouvez apprendre et mesurer facilement. Ce sont des aptitudes comme parler plusieurs langues, maîtriser un logiciel particulier ou savoir jongler avec les chiffres en comptabilité. Ce sont des compétences que vous pouvez démontrer avec un diplôme, une certification ou une expérience de travail spécifique.

Les soft skills quant à elles sont un peu plus subtiles. Ce sont les qualités personnelles qui influent sur votre manière de travailler avec les autres et de gérer les situations complexes. Elles ne peuvent pas être facilement mesurées, mais elles sont nécessaires pour réussir dans votre carrière. Contrairement aux hard skills, elles ne s’acquièrent pas facilement et surtout, ne sont pas périssables.

En somme, les hard skills vous donnent les outils, mais ce sont les soft skills qui vous aident à les utiliser de manière efficace.

Pourquoi est-ce important de déceler les soft skills lors d’un recrutement ?

Si vous souhaitez embaucher, c’est essentiel de repérer les soft skills des candidats pour plusieurs raisons. Tout d’abord, elles peuvent influencer de manière significative la dynamique d’une équipe de travail. Des employés dotés de bonnes compétences comportementales sont plus susceptibles de favoriser un climat de travail positif, de promouvoir une culture d’entreprise solide et de faciliter la coopération entre les membres de l’équipe.

De plus, les soft skills sont souvent des compétences transférables, c’est-à-dire qu’elles peuvent être utilisées dans différents domaines et s’adapter à différents types d’emplois. Alors que les hard skills sont souvent spécifiques à un poste et peuvent devenir obsolètes avec le temps, les soft skills sont plus durables et offrent une plus grande flexibilité aux collaborateurs, leur permettant de s’adapter aux changements et d’apprendre de nouvelles compétences bien plus facilement.

Enfin, elles sont également liées à la capacité de leadership. Des compétences telles que la gestion du temps, la prise de décision, la communication persuasive et la résolution de conflits sont essentielles pour assumer des rôles de responsabilité et d’influence au sein de l’organisation. En identifiant ces compétences chez les candidats pendant le processus de recrutement, vous pouvez déceler ceux qui ont le potentiel de devenir de bons leaders à l’avenir.

Mode d’emploi pour repérer les soft skills des candidats

Parce que la performance d’une équipe est la somme des hard skills et soft skills de ses membres, voici comment identifier les compétences comportementales de vos potentielles recrues :

  • Posez des questions : Faites en sorte d’amener les candidats à partager des exemples concrets de situations passées où ils ont mis en pratique des compétences telles que la résolution de problèmes, la communication efficace ou la gestion du temps. Par exemple, demandez-leur de décrire une situation difficile au travail et comment ils l’ont gérée.
  • Observez leur langage corporel : Prêtez attention à des signaux non verbaux tels que le contact visuel, la posture et les expressions faciales. Un bon langage corporel peut indiquer une certaine confiance en soi, une ouverture à la communication et une capacité à s’adapter aux différentes situations.
  • Testez leur écoute : Entendre sans écouter : l’un des pires fléaux de notre époque. Analysez comment les candidats écoutent et réagissent pendant l’entretien. La capacité à écouter activement et à poser des questions pertinentes est la preuve d’une aisance avec la communication et un intérêt sincère pour les autres.
  • Évaluez leur réactivité : Mettez les candidats dans des situations où ils doivent réagir rapidement à des problèmes ou des défis. Cela peut vous donner un aperçu de leur capacité à résoudre des problèmes, à prendre des décisions sous pression et à s’adapter à des circonstances changeantes.
  • Demandez des références : Parlez avec d’anciens collaborateurs du candidat pour obtenir des informations sur ses soft skills, sa fiabilité et son comportement dans des contextes de travail plus spécifiques.
  • Organisez des mises en situation : Vous pouvez proposez aux candidats des exercices pratiques ou des mises en situation qui simulent des défis rencontrés dans le poste à pourvoir. Cela peut vous aider à évaluer leur capacité à travailler en équipe, à résoudre des problèmes et à gérer les interactions avec les autres.

Pour finaliser le recrutement, pensez au « culture fit ». Demandez à un collaborateur d’un service différent de s’entretenir avec le candidat. Exit les hard skills, cet entretien doit être centré sur les traits de personnalité de la personne que vous souhaitez embaucher, avec une liste de questions bien définie en amont.

En combinant ces différentes méthodes, vous pourrez obtenir une vision assez complète des soft skills de vos candidats et prendre des décisions éclairées concernant leur adéquation à la fois au poste et à la culture de l’entreprise.

Bonus : Les mad skills

Cette expression est souvent utilisée de manière positive pour mettre en avant des capacités exceptionnelles ou un talent remarquable dans un domaine spécifique. Elle peut être utilisée pour décrire des compétences musicales, artistiques, sportives, techniques ou tout autre domaine où une personne excelle de manière exceptionnelle.

Voici quelques exemples de mad skills qui peuvent vous intéresser lors d’un recrutement :

  • La pratique d’un sport collectif : pas de surprise, cela veut dire que le candidat sait travailler en équipe
  • L’appétence pour la culture et l’art : patience, passion, sensibilité.. Des qualités plus que recherchées dans le monde de l’entreprise
  • Des actions de bénévolat : c’est une preuve d’intelligence émotionnelle très forte ainsi que d’engagement pour une cause ou un projet
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5 conseils pour préparer au mieux sa reconversion professionnelle

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Vous envisagez de quitter votre emploi pour une nouvelle carrière ? La reconversion professionnelle a le vent en poupe. Pour preuve, le dernier Baromètre 2024 de la formation et de l’emploi du Centre inffo constate qu’1 actif sur 5 prépare concrètement une reconversion professionnelle. 49 % des actifs préparent ou envisagent une reconversion professionnelle. C’est dire l’engouement que suscite ce virage à 180 degrés. Mais pour qu’un changement de cap soit couronné de succès, une bonne préparation est fondamentale. Pour vous aider à atteindre votre objectif de reconversion professionnelle dans les meilleures conditions, nous vous livrons 5 conseils. Bonne lecture.

Prise de notes lors d'un team building

1. Une reconversion professionnelle est-elle vraiment nécessaire ?

On ne change pas de métier sur un simple coup de tête. La reconversion professionnelle ne s’improvise pas, ses enjeux sont trop importants. D’autant plus lorsqu’il s’agit d’une reconversion professionnelle en CDI avec la perte de vos revenus.

Plusieurs étapes jalonnent le parcours d’une reconversion professionnelle, avant d’atteindre l’objectif fixé : un nouveau métier.

La première consiste à vérifier si c’est bien une reconversion professionnelle dont vous avez réellement besoin. Car parfois, ce n’est pas le métier qui pose problème, mais simplement votre employeur, les valeurs de l’entreprise ou vos collègues. Dans ce cas de figure, vous pouvez exercer votre métier ailleurs et quitter votre entreprise sans tout reprendre de zéro.

Un travail introspectif s’impose alors. Posez-vous la question suivante : pourquoi je veux me lancer dans une reconversion professionnelle ? Les raisons sont nombreuses et très personnelles.

Par exemple : 

  • J’ai besoin de donner du sens à mon travail et aujourd’hui je n’en vois aucun dans mon emploi.
  • Je ne suis pas assez bien payée. Soit parce que la rémunération dans mon métier est basse, soit parce que mon entreprise actuelle ne me paye pas assez.
  • Je ne suis plus en phase avec les valeurs et la culture de mon entreprise.
  • J’ai toujours eu un rêve d’enfant et c’est le moment de l’accomplir professionnellement.
  • J’ai fait le tour de mon emploi actuel et je sens que d’autres opportunités peuvent se créer dans d’autres métiers porteurs.

Selon les réponses apportées, vous pourrez trancher entre opérer une reconversion professionnelle ou conserver votre emploi actuel et changer d’entreprise.

2. Se reconvertir, mais dans quoi ?

2e étape pour se reconvertir : choisir un nouveau métier ! Parfois, celui-ci s’impose naturellement. Notamment lorsque vous accomplissez un rêve d’enfant, lorsque vous avez une vocation tardive ou lorsqu’une carrière en particulier vous attire. Parfois, le changement nécessite plus d’approfondissement.

Choisir un métier porteur

La reconversion professionnelle prend du temps et coûte cher. Se diriger vers un métier porteur est primordial pour ne pas louper votre virage et trouver un emploi pérenne.

Un métier porteur garantit votre employabilité. Les entreprises ont des besoins concrets sur celui-ci et recrutent pour dénicher le talent qu’il leur faut. Autrement dit, il est un emploi d’avenir, qui ne connaît pas de crise de l’embauche.

Pour savoir si votre objectif professionnel est gagnant, vous pouvez : 

  • Regarder si les offres d’emploi sont nombreuses sur les jobboards.
  • Consulter les chiffres clés sur le secteur d’activité. La Dares, France Travail, l’Apec, le ministère du Travail en publient régulièrement.
  • Interroger votre réseau professionnel.

Voici quelques exemples de métiers porteurs : chargé des ressources humaines, business developper ou responsable de formation.

En cas de doute ou si vous êtes dans l’impasse, tournez-vous vers des professionnels pour vous accompagner dans votre projet de reconversion.

Identifier ses critères de reconversion

Reconversion dans les ressources humaines, reconversion dans le développement commercial, reconversion pour devenir formateur… Les carrières possibles sont illimitées. 

Pour trouver le métier qu’il vous faut, interrogez-vous sur les aspects prioritaires de votre reconversion professionnelle

Par exemple : 

  • Quel équilibre vie professionnelle – vie personnelle je souhaite ?
  • Ai-je besoin d’un métier qui ait du sens ?
  • Quelles sont les conditions de travail qui sont prioritaires pour moi ?
  • Quelles sont mes prétentions salariales ?
  • Dans quel secteur d’activité j’ai envie de travailler ?
  • Qu’est-ce que j’aime faire ?
  • Ai-je envie d’être salarié ? Ou à mon compte ?
  • Suis-je mobile géographiquement ?

Chemin faisant, un nouveau métier se dessinera probablement de votre réflexion. Si ce n’est pas le cas, rassurez-vous, il existe des solutions.

Se faire accompagner dans le cadre de sa reconversion professionnelle

Plusieurs interlocuteurs peuvent vous aider à identifier les métiers qui recrutent et à aiguiller au mieux votre nouvelle carrière.

Faire un bilan de compétences pour assurer sa reconversion

Le bilan de compétences dans le cadre d’une reconversion est l’outil parfait pour vous aider à affiner votre projet professionnel.

Il peut être réalisé en dehors de vos heures de travail et il est finançable avec votre CPF. Le bilan de compétences peut aussi être intégré au plan de formation de l’entreprise (plan de développement des compétences). À voir avec votre employeur.

Se faire coacher

Pour vous aider dans votre transition professionnelle, vous pouvez solliciter l’aide de plusieurs personnes

  • Un coach spécialisé dans la réorientation.
  • Un organisme de formation. Par exemple, l’équipe RH/Formation d’Evocime est là pour vous orienter au mieux dans votre transition professionnelle. Les équipes des centres d’Ascension professionnelle sont présentes à chaque étape de votre projet de reconversion ou d’évolution professionnelle, pour vous guider dans votre projet, vous suivre durant votre parcours et vous accompagner dans votre retour à l’emploi.
  • Un membre de votre réseau professionnel.

Solliciter l’aide d’un conseiller en évolution professionnelle (CEP)

Le conseil en évolution professionnelle est un dispositif d’accompagnement des projets d’évolution professionnelle. La reconversion en fait partie.

Gratuit et personnalisé, il peut être suivi sur votre temps libre.

Plusieurs dispositifs existent. Votre interlocuteur dépend de votre statut : 

  • Demandeur d’emploi : France Travail.
  • Cadre : Apec.
  • Jeune de moins de 26 ans : Missions Locales.
  • Personne dans le handicap est un frein à l’évolution professionnelle : Cap emploi.
  • Salarié sous contrat de droit privé ou travailleur indépendant : Avenir actifs (mandaté par France Compétences).
  • Agent de la fonction publique : CNFPT, conseiller mobilité-carrière ou l’Association nationale pour la formation permanente du personnel hospitalier.

Analyse de votre motivation profonde et des raisons qui guident votre réorientation, découverte de métiers, liste de formations, points sur vos compétences, aide à la recherche d’un emploi, choix d’un secteur d’activité, comment financer votre reconversion, aides disponibles, montant de votre CPF… Vous pourrez passer en revue différents aspects de votre reconversion professionnelle avec le professionnel attribué.

3. Comment sélectionner un bon organisme de formation pour préparer sa reconversion ?

Les reconversions s’accompagnent très souvent d’une formation pour compléter le panel de compétences déjà acquises. 

Suivre une formation vous permet d’avoir un profil candidat parfait aux yeux des recruteurs.

L’offre de formation est nombreuse sur le marché. Voici quelques conseils pour vous aider à sélectionner celle qui vous convient le mieux

  • La formation doit être reconnue par l’État.
  • Le cursus doit aboutir sur un diplôme.
  • La qualité des intervenants : des enseignants professionnels en exercice et expérimentés.
  • Les taux de réussite aux examens et de retour à l’emploi doivent être élevés.
  • La présence d’un service dédié à l’accompagnement des élèves.
  • Les critères d’admission doivent être raisonnables.
  • La durée de la formation.
  • Les programmes doivent être orientés métiers. C’est-à-dire qu’ils doivent répondre aux besoins concrets des employeurs. 
  • Les modalités de suivi des cours : présentiel, distanciel, blended learning.
  • Le réseau de l’école doit être important pour vous donner les meilleures chances de trouver un emploi à l’issue de votre formation. Une cellule relations entreprises dans l’organisme de formation est un critère de choix.
  • Son prix et ses modalités de financement.

4. Combien coûte une reconversion professionnelle ?

Se reconvertir à un impact financier non négligeable. D’autant plus lorsque vous devez quitter votre CDI pour suivre votre formation.

Frais de formation, frais de transport, de logement, de nourriture, absence de salaires… Ceux-ci doivent être estimés pour être anticipés.

Renseignez-vous sur les tarifs pratiqués dans l’organisme de formation choisi. Mais aussi sur les modalités de financement possibles.

5. Combien de temps dure une reconversion professionnelle

Entre le moment où vous actez votre réorientation et le moment où vous commencerez votre nouveau travail, il peut se passer quelques mois voire plusieurs années selon la durée de votre formation.

En règle générale, une reconversion s’étale entre 6 et 36 mois. Mais la durée est propre à chaque situation.

Reconversion professionnelle : ce qu’il faut retenir pour la préparer au mieux

Une réorientation demande de la préparation et de l’agilité.

Voici les étapes indispensables pour la réussir : 

  1. Vérifier le besoin réel de se reconvertir.
  2. Cibler un métier porteur. 
  3. Sélectionner un organisme de formation sérieux et reconnu.
  4. Évaluer le coût de votre transition professionnelle.
  5. Évaluer sa durée.

Vous avez maintenant toutes les cartes en main pour assurer votre recrutement, bonne reconversion !

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Quelles sont les soft skills les plus demandées en 2024 ?

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Vous avez forcément entendu parler des softs skills ! En 2024, elles conservent leur grande importance, à côté du diplôme et des hard skills. Parfois même, les compétences comportementales affichées sur un CV sont décisives dans le choix d’une candidature. Alors, quelles sont celles que les recruteurs s’arrachent ? Tour d’horizon des 10 soft skills immanquables à associer de toute urgence à votre profil si vous postulez cette année.

Collaboratrice souriante (2)

Les softs skills en 2024, c’est quoi ?

Les soft skills peuvent littéralement se traduire par les compétences douces en français. On les appelle aussi compétences comportementales.

Il n’existe ni définition officielle ni liste précise de celles-ci. Mais on peut raisonnablement dire qu’elles correspondent aux savoir-être d’une personne. C’est-à-dire, des compétences complémentaires nécessaires pour interagir avec des tiers. Elles sont des traits visibles de la personnalité.

Les soft skills peuvent être innées. Mais elles peuvent aussi s’acquérir lors d’activités extra-professionnelles. Par exemple, une activité sportive ou une activité artistique.

Les soft skills s’opposent aux compétences techniques. Celles qui s’acquièrent sur les bancs de l’école et se mesurent. On parle de hard skills.

Hard skills et soft skills se complètent et forment votre profil candidat. Elles sont toutes deux mobilisées dans le monde du travail pour accomplir les différentes missions qui vous seront confiées. Que vous soyez salarié en CDI, en CDD, alternant, en reconversion ou stagiaire.

10 soft skills recherchées par les recruteur en 2024

D’après le dernier rapport Futur of Jobs publié en avril 2023 par le World economic forum, 10 compétences comportementales sont clés pour le recrutement sur la période 2023 – 2027. 

Elles sont classées parmi 5 catégories : 

  • Les compétences cognitives.
  • L’auto-efficacité.
  • Le management.
  • La technologie.
  • La capacité de travailler avec d’autres personnes.

Les soft skills cognitives arrivent en tête du classement.

Top 10 skills of 2023

1. Analytical thinking (cognitive skills) 6. Technologival literacy (technology skills)
2. Creative thinking (cognitive skills) 7. Dependability and attention detail (self-efficacy)
3. Resilience, flexibility and agility (self-efficacy) 8. Empathy and active listening (working with others)
4. Motivation and self-awareness (self-efficacy) 9. Leadership and social influence (working with others)
5. Curiosity and lifelong learning (self-efficacy) 10. Quality control (management skills)

Source : World Economic Forum, Future of Jobs Report 2023.

1. La résolution de problèmes complexes (l’esprit analytique)

C’est votre faculté à démêler des situations compliquées et à en trouver une issue rapidement.

La capacité à prendre rapidement des décisions en est une illustration parfaite.

Elle arrive en tête des soft skills recherchées chez un candidat.

2. La créativité

Elle offre à l’entreprise la possibilité d’innover grâce à des idées nouvelles, originales et adaptées pour l’entreprise. 

Les entreprises cherchent des profils qui savent oser, s’affranchir des idées classiques, prendre des initiatives originales pour améliorer la productivité de l’organisation.

3. La résilience, la flexibilité et l’agilité

La résilience, c’est la capacité d’un individu à accepter l’échec puis à s’adapter face aux changements et aux obstacles. 

Cet état d’esprit positif et conquérant galvanise les troupes et fait croître une entreprise.

La flexibilité, c’est la compétence qui permet de s’adapter à toutes les situations. Qu’elles soient positives ou négatives.

L’agilité intellectuelle, c’est la capacité de rebond rapide face à des situations complexes.

Ces 3 compétences douces forment un trio particulièrement apprécié des recruteurs.

4. La motivation

Une personne motivée en entreprise est une ressource précieuse

Pour les collaborateurs, la motivation peut naître de différents facteurs très personnels : la quête de sens, une bonne rémunération, des conditions de travail favorables…

Ses effets sont bénéfiques pour l’entreprise : une attitude positive et constructive, un entrain personnel et un dévouement envers l’entreprise. Mais aussi une source accrue de productivité.

5. La curiosité

La curiosité utilisée à bon escient en entreprise n’est pas un vilain défaut. Elle témoigne d’une envie de s’informer pour apprendre et ne pas subir l’obsolescence des compétences.

Cette soft skills est particulièrement appréciée dans le secteur digital où les avancées technologiques sont prépondérantes.  

N’hésitez pas à demander des formations à votre entreprise ! Dans les secteurs RH, management, gestion de projet, ingénierie pédagogique et commerce, Evocime est un organisme de formation reconnu qui propose de nombreuses sessions sur-mesure chaque année.

6. La culture technologique

Dans un monde où la digitalisation des processus est généralisée, les futurs collaborateurs doivent être en alerte sur les innovations qui touchent leur secteur.

Un candidat qui adopte une culture d’apprentissage tout au long de sa vie professionnelle à mesure que le cycle de vie de ses compétences diminue est un véritable plus pour les recruteurs.

7. La fiabilité

C’est la confiance que peut porter une entreprise sur ses collaborateurs. Et vice-versa. 

Dans un contexte où de plus en plus d’autonomie est laissée aux individus, avec l’émergence du télétravail, cette soft skills est primordiale pour établir un rapport de confiance bénéfique.

8. L’empathie et l’écoute active

Savoir écouter avec bienveillance et sincérité est une qualité très appréciée en entreprise. 

L’empathie et l’écoute active démontre une forme d’intelligence émotionnelle qui se distingue du traditionnel QI. 

Ces compétences sont particulièrement attendues chez les managers, qui doivent essayer de comprendre les craintes de leur équipe. Elles garantissent une meilleure communication.

9. Le leadership

Avoir du leadership, c’est être doté d’un charisme naturel qui galvanise les foules. Mais aussi être en mesure d’adapter ses attentes en fonction de celles des autres collaborateurs.

Le leader est capable de diriger, guider et protéger son équipe.

Adopter un leadership inspirant est une compétence essentielle dans le management.

10. Le professionnalisme

Le professionnalisme peut avoir plusieurs lectures, toutes aussi importantes.

Il désigne la capacité : 

  • À entretenir de bonnes relations avec les collaborateurs de l’entreprise mais aussi avec ses clients et ses partenaires. C’est la capacité à travailler avec d’autres personnes. 
  • À accomplir avec sérieux ses différentes tâches.
  • À rendre son travail à temps.

Les collaborateurs soucieux du travail bien fait sous toutes ses coutures sont des ressources précieuses et recherchées.

Les softs skills sont-elles toujours plébiscitées par les recruteurs ?

Si le diplôme et les compétences techniques ont toujours la part belle dans les recrutements, ils ne sont plus les seuls éléments du profil candidat regardés par les entreprises. Les soft skills ont en 2024 une grande place dans la décision finale de choisir tel ou tel profil.

Plus encore, à niveau de compétence technique égal, les soft skills feront la différence entre 2 candidats

Pourquoi ? Car les soft skills permettent d’évaluer d’autres aspects d’une candidature. 

Notamment : 

  • Si les valeurs du candidat sont compatibles avec celles de l’entreprise.
  • Si la personnalité du candidat peut aisément se fondre avec la culture d’entreprise.
  • Si le candidat peut facilement s’intégrer dans son équipe.
  • Si le candidat et son manager peuvent s’entendre et travailler correctement ensemble.

Les raisons de l’engouement pour les savoir-être sont compréhensibles : 

  • Une embauche coûte cher à l’entreprise. Toutes les étapes du processus de recrutement sont longues, onéreuses et mobilisent les forces vives des ressources humaines. 
  • Pour certains emplois en tension, l’erreur de recrutement peut être fatale pour la croissance de l’entreprise. Mais aussi pour le moral des collaborateurs qui vont devoir supporter un effectif diminué. Il peut se passer de longues semaines avant de retrouver le talent idéal.

En s’assurant que les candidats reçus possèdent les soft skills attendues, les entreprises sécurisent un peu plus les embauches. Et donc la pérennité de l’organisation toute entière.

Soft skills : témoignage d’Alexianne Duflot, RRH

Alexianne Duflot est Responsable Ressources Humaines (RRH) dans le Groupe ADP. Elle nous livre sa précieuse analyse des soft skills dans son quotidien professionnel. 

Les soft skills sont-elles toujours d’actualité en 2024 ?

Les softs skills sont bien entendu toujours d’actualité en 2024.

Les générations se suivent et ne se ressemblent pas. Les ressources humaines misent beaucoup sur les compétences douces des candidats pour compléter leur profil et faire la différence. 

Quelles sont celles les plus attendues des recruteurs ?

Pour un recruteur, la première compétence attendue des talents qu’il reçoit en entretien est la résilience. La capacité à rebondir et à s’adapter est essentielle dans le monde de l’entreprise.

Ensuite, vient la motivation pour un poste, facteur de productivité pour l’entreprise.

Enfin, la fiabilité. Dans un environnement mouvant depuis plusieurs années, il n’est pas rare de voir des revirements de situations qui viennent perturber la fiabilité d’un recrutement. Les collaborateurs fiables sont ceux qui tiennent leurs engagements, créant ainsi un climat de confiance réciproque.

Résilience, motivation et fiabilité sont les qualités qui font réellement la différence entre 2 talents qui disposent des mêmes compétences techniques.

Les soft skills ont-elles encore de beaux jours devant elles ?

Les soft skills ont encore de beaux jours devant elles. La quête du profil idéal se poursuit. 

Ce sont elles qui font vraiment la différence et pour lesquelles les entreprises vont s’attacher à les déceler lors des entretiens d’embauche.

La personnalité d’un candidat, son état d’esprit, ses valeurs, ses activités sportives ou artistiques sont autant de facteurs analysés par l’entreprise avant de prendre une décision finale sur un recrutement.

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Se former en alternance pour changer de métier

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Votre emploi actuel ne vous convient plus et vous envisagez de vous reconvertir ? Bonne nouvelle, l’alternance est ouverte à de nombreux profils : aux jeunes non encore actifs sur le marché du travail, aux salariés et aux demandeurs d’emploi. Ce mode de formation vous permet d’envisager sereinement un changement de cap, y compris si vous êtes en CDI, tout en renforçant votre employabilité. Sa grande force est de combiner des phases théoriques et pratiques pour une meilleure insertion auprès des employeurs. Découvrez l’essentiel à savoir si vous souhaitez vous former en alternance pour changer de métier.

La formation en alternance, ça veut dire quoi ?

La formation en alternance, ou alternance, est un système de formation hybride qui combine : 

  • 1 phase de cours théoriques, dispensés par un Centre de Formation des Apprentis (CFA), une école ou un organisme de formation privé ou public.
  • 1 phase de mise en pratique, en entreprise.

Elle se distingue des formations classiques dans lesquelles seuls les fondamentaux théoriques sont enseignés.

Très concrètement, l’alternant se rend en cours ou dans l’entreprise qui l’accueille, selon un planning défini en amont. Par exemple : 

  • 3 semaines en entreprise, 1 semaine en cours.
  • Tous les matins en cours, tous les après-midi en entreprise.
  • 3 jours en entreprise, 2 jours en cours.

En fonction du public visé par la formation en alternance, plusieurs dispositifs coexistent : 

  • Les salariés en CDI qui souhaitent se reconvertir : la Reconversion ou promotion par alternance (Pro-A).
  • Les jeunes de 16 à 25 ans révolus qui veulent compléter une formation initiale, les demandeurs d’emploi de 26 ans et plus qui souhaitent se réinsérer sur le marché du travail, les bénéficiaires du RSA, de l’ASS, de l’AAH, d’un CUI sans limite d’âge : le contrat de professionnalisation.
  • Les jeunes de 16 à 29 ans révolus dans le cadre de la formation initiale : l’apprentissage.

Le champ d’action de l’alternance est donc très large et balaye de nombreux profils d’alternants.

La formation en alternance, ça sert à quoi ?

Qu’elle s’inscrive dans le cadre d’une formation continue ou d’une formation initiale, la formation en alternance a pour but de donner à la personne qui la suit toutes les hard skills et les soft skills essentielles pour trouver un emploi et exceller sur les missions confiées

L’alternance permet alors : 

  • De trouver un premier emploi.
  • De se reconvertir.
  • De monter en compétences.
  • De se réinsérer sur le marché du travail.

L’atout phare de la formation en alternance est de professionnaliser les fondamentaux acquis.

Pour attester du niveau de connaissances auprès des employeurs, la fin du parcours de formation est marqué par un examen et, en cas de réussite, par la remise : 

  • D’un diplôme ou un titre à finalité professionnelle enregistré au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP).
  • D’une qualification d’une convention collective nationale de branche.
  • D’un certificat de qualification professionnelle de branche ou interbranche.

En d’autres termes, en combinant un enseignement pratique et un enseignement théorique de qualité, ainsi qu’un diplôme reconnu, la formation en alternance offre les meilleures chances professionnelles à tous ceux qui font ce choix.

Quelles sont les formations possibles en alternance ?

Le panel de formations possibles en alternance est très large.

Tous les niveaux de certification et de diplômes peuvent être préparés en alternance : CEP, brevet professionnel, bac pro, BTS, DUT, Master, Bachelor, Mastère…

De nombreux métiers et secteurs d’activité sont aujourd’hui accessibles par la voie de l’apprentissage, du contrat de professionnalisation ou de la Pro-A.

À Paris, à Lille, à Nantes et dans bien d’autres villes, vous trouverez à coup sûr la formation qu’il vous faut dans l’un des nombreux organismes de formation accessibles sur le marché. 

Par exemple, si vous souhaitez opérer un changement de cap professionnel dans les RH, le management, la gestion de projet, l’ingénierie pédagogique ou le commerce, Evocime est un organisme de formation sérieux et reconnu pour ces secteurs d’activité.

Formation en alternance et reconversion professionnelle, c’est possible ?

La formation en alternance n’est pas réservée qu’aux étudiants prêts à entrer sur le marché du travail. Les dispositifs d’alternance sont accessibles aux salariés en poste en quête d’une nouvelle expérience professionnelle.

Formation en alternance et reconversion sont parfaitement compatibles

2 dispositifs ont été imaginés en ce sens pour permettre aux salariés de changer de métier : 

  • Le contrat de professionnalisation
    • Si vous avez entre 16 et 25 ans révolus.
    • Si vous êtes demandeur d’emploi de 26 ans et plus.
    • Si vous êtes bénéficiaire : 
      • Du RSA.
      • De l’ASS.
      • De l’AAH.
    • Si vous avez bénéficié d’un CUI.
  • La Reconversion ou promotion par alternance (Pro-A) : 
    • Si vous êtes en CDI.
    • Si vous êtes sportif ou entraîneur professionnel en contrat à durée déterminée (CDD).
    • Si vous êtes en contrat unique d’insertion (CUI) à durée indéterminée.
    • Et que vous n’avez pas un niveau de qualification équivalent à une certification professionnelle enregistrée au RNCP et correspondant au grade de la licence (Bac +3).

Ils reposent sur : 

  • Des cours théoriques en école ou dans un organisme de formation.
  • Des temps de pratique en entreprise pour acquérir un savoir-faire opérationnel en lien avec les qualifications recherchées.

Si vous souhaitez bénéficier d’une formation en alternance, faites-en la demande à votre employeur. Vous envisagerez ensemble les différents parcours pour la mettre en place.

À noter : l’apprentissage ne vise pas les profils en reconversion professionnelle. Les apprentis sont des jeunes non encore actifs sur le marché du travail. La formation est alternée entre des cours dispensés par les CFA et des temps en entreprise.

Exemples de formation en alternance pour se reconvertir vers un métier d’avenir

Vous avez toujours rêvé de devenir chargé des ressources humaines ? Vous mesurez l’importance du digital learning et vous souhaitez exercer le métier de concepteur pédagogique ? Changer de travail c’est possible grâce à des formations en alternance disponibles chez Evocime.

Vous avez le choix entre : 

Pendant une année (12 mois), vous alternerez présence en entreprise et journées de formation en présentiel sur le campus ou à distance (blended learning).

À l’issue du cursus, une certification en lien avec votre formation vous sera délivrée. Elle est un gage d’employabilité pour les entreprises et atteste de la qualité des savoirs acquis.

Formation en alternance et reconversion professionnelle, ce qu’il faut retenir

L’apprentissage, le contrat de professionnalisation et la Pro-A sont les principaux dispositifs existants pour se former par alternance.

Faire le choix d’une formation en alternance, c’est opter pour un parcours gagnant sur de nombreux points : 

  • Des métiers variés accessibles par l’alternance.
  • Tous les profils peuvent recourir à ce mode de formation.
  • Votre employabilité auprès des entreprises est renforcée grâce à la mise en pratique des savoirs théoriques et à l’obtention d’un diplôme (CEP, brevet professionnel, bac pro, BTS, DUT, Master, Bachelor, Mastère…) ou d’une certification.
  • Votre formation est prise en charge à 100 %. Elle est gratuite pour vous.
  • Vous êtes rémunéré par l’entreprise qui vous accueille.
  • Le statut d’alternant est très intéressant.

Si vous êtes sur le chemin de la reconversion professionnelle, la formation en alternance est assurément une option très sérieuse à envisager pour vous donner les meilleures chances d’embauche auprès des entreprises.

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Comment se reconvertir pour devenir formateur ?

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Vous souhaitez devenir formateur ? Ce métier porteur occupe une place stratégique au sein des organismes de formation qui veulent se faire accompagner dans la mise en place des nouvelles pratiques issues de l’IA. Un changement de cap prend du temps. Pour être réussi, il nécessite une préparation minutieuse. Comment se reconvertir pour devenir formateur ? Découvrez 3 étapes clés.

Réunion d'équipe

Etape 1 pour se reconvertir formateur : réaliser un état des lieux des compétences attendues

On ne s’improvise pas formateur du jour au lendemain. La reconversion professionnelle prend du temps. Ce métier pédagogique mobilise des savoir-faire et des savoir-être indispensables pour se donner les meilleures chances d’être embauchés.

Quelles sont les compétences indispensables du bon formateur ?

Les hard skills d’un bon formateur : 

  • Connaissance sur le sujet de la formation (hard skills et soft skills).
  • Maîtrise des outils numériques, dont l’IA.
  • Management d’une équipe.

Les soft skills d’un bon formateur : 

  • Sens de la pédagogie.
  • Excellente communication.
  • Aisance à l’oral.
  • Sens relationnel.
  • Capacité d’adaptation.
  • Capacité d’écoute.

L’essor de l’intelligence artificielle (IA) n’a pas épargné le secteur de la formation. Celui-ci s’est adapté pour intégrer de nouvelles méthodes et des outils à ses pratiques traditionnelles. 

Notamment : 

  • Les webinaires.
  • Le e-learning.
  • Les MOOC.
  • Le blended learning.
  • La classe virtuelle.

Les futurs formateurs devront nécessairement intégrer les avancées de l’IA dans leurs programmes de formation :  

  • Dans le contenu même de la formation : expliquer ce qu’est l’IA et comment elle peut révolutionner des pratiques. Mais aussi, mentionner ses enjeux : permettre à l’entreprise de rester compétitive sur son marché. 
  • Dans le support de formation (PowerPoint, vidéos, serious game…), qui peut être produit avec l’aide de l’IA.
  • Dans l’animation des formations pour s’adapter aux habitudes des apprenants.

Bon à savoir : à côté des formateurs traditionnels qui forment en présentiel, d’autres sont spécialisés dans la formation en ligne. Ceux-ci utilisent des supports digitaux, des outils numériques et des plateformes de visioconférence. Les intitulés de poste sont variés. Vous pouvez retrouver les termes de e-formateur, formateur numérique, formateur en e-learning, formateur en digital learning.

Quelles compétences devez-vous acquérir pour viser le métier de formateur ?

Si vous ne possédez pas toutes les compétences nécessaires pour devenir formateur, pas de panique. Ce métier peut parfaitement s’apprendre grâce à une bonne formation. Y compris dans le cadre d’une reconversion professionnelle. 

Pour savoir ce qui vous manque, vous devez réaliser un état des lieux des compétences techniques et des compétences comportementales que vous possédez. Puis, les confronter avec celles attendues dans votre prochain challenge professionnel.

Certaines compétences sont transférables d’une expérience professionnelle à une autre. D’autres sont à acquérir en suivant une bonne formation.

Un bilan de compétences peut vous aider à faire le point sur les savoirs déjà acquis et ceux qui vous manquent pour vous donner les meilleures chances de vous épanouir dans votre nouvelle vie professionnelle. Vous pouvez aussi solliciter le Conseil en Évolution Professionnelle (CEP).

À noter : le métier de formateur est à distinguer de celui de responsable de formation en entreprise. Ce dernier est le garant de la bonne formation des collaborateurs de l’entreprise.

Etape 2 pour se reconvertir formateur : suivre une bonne formation

Pour sélectionner la bonne formation de formateur, quelques points important doivent être scrutés avec attention : 

  • Le programme de formation : il doit vous enseigner toutes les compétences utiles pour postuler aux offres d’emploi de formateurs.
  • Le profil des formateurs : s’ils sont professionnels, c’est un véritable avantage pour répondre aux besoins concrets des employeurs.
  • Le réseau professionnel de l’école ou de l’organisme de formation. Il doit vous permettre de rencontrer des experts et des employeurs. Par exemple, vous pouvez vérifier que des jobs dating sont organisés.
  • Votre employabilité doit être au cœur des préoccupations de l’organisme de formation que vous sélectionnerez pour vous former au métier de formateur. 

Gage de la qualité des enseignements reçus lors de votre formation pour devenir formateur, l’organisme de formation vous remet une certification ou un diplôme après avoir réussi vos examens.

Il représente votre précieux sésame auprès des employeurs. 

Evocime, organisme de formation spécialisé dans les secteurs des RH, du management, de la gestion de projet, de l’ingénierie pédagogique et du commerce propose des formations métier pour accompagner les salariés sur le chemin de la reconversion professionnelle. 

Parmi celles-ci, la formation Manager de formation, spécialité Intelligence Artificielle (IA) répond à tous les enjeux cruciaux du moment. Les organismes de formation doivent disposer de formateurs agiles avec l’ensemble des nouvelles pratiques impulsées par l’essor de l’intelligence artificielle. Le programme de formation proposé y répond.

Un certificat de réalisation, une attestation de compétences et le certificat CléA Management (RS6269) vous seront remis à l’issue du parcours de formation.

Bon à savoir : la formation Chef de projet Formation Spécialité IA proposée par Evocime est ouverte à toutes les personnes titulaires d’un titre ou diplôme de niveau 5 minimum (bac+2), ou d’une expérience professionnelle de 5 ans minimum dans le secteur de la formation.

Etape 3 pour se reconvertir formateur : financer sa formation

Dans le cadre d’une reconversion professionnelle pour devenir formateur, plusieurs scénarios sont envisageables pour financer votre formation.

Options de financement : 

  • Vous envisagez une reconversion en CDI ou en CDD : 
    • Vous pouvez mobiliser votre CPF et vous former sur votre temps de travail, après accord de votre employeur.
    • Si vous justifiez d’une activité salariée d’au moins 2 ans consécutifs, dont 1 an dans la même entreprise, vous pouvez demander à bénéficier du Projet de Transition Professionnelle (PTP). Votre formation sera prise en charge par l’association Transitions Pro. Vous percevrez une rémunération pendant le temps de votre formation.
    • Votre employeur peut vous proposer une formation et la financer si elle s’inscrit dans le Plan de Développement des Compétences (PDC) de l’entreprise.
    • En CDI, vous pouvez demander à votre employeur de bénéficier de la Reconversion ou promotion par alternance (Pro-A). Votre formation sera prise en charge par l’OPCO dont dépend votre entreprise.
    • Si votre licenciement économique est envisagé, vous pouvez bénéficier du Contrat de sécurisation professionnelle (CSP) et être formé à un nouveau métier, comme celui de formateur. Votre formation sera prise en charge par France Travail (ex Pôle emploi).
  • Vous êtes demandeur d’emploi, France Travail propose des aides financières pour vous former avant une embauche : 
    • L’Action de Formation Préalable au Recrutement (AFPR).
    • La Préparation Opérationnelle à l’Emploi Individuelle (POEI).
    • L’Aide Individuelle à la Formation (AIF).

Vous pouvez aussi auto-financer votre formation.

Renseignez-vous auprès de votre organisme de formation, il étudiera avec vous toutes les options possibles pour financer votre reconversion professionnelle.

Bon à savoir : il n’y a pas d’âge pour changer de cap. Se reconvertir à 30 ans c’est possible, comme à 50. Le métier de formateur est ouvert à tout le monde.

Reconversion professionnelle en tant que formateur, ce qu’il faut retenir

Le digital learning est un secteur qui a le vent en poupe. Les débouchés dans le secteur de la formation sont nombreux et l’essor de l’intelligence artificielle a transformé les méthodes utilisées. Le métier de formateur est particulièrement demandé.

Les formateurs ont pour mission d’accompagner les organismes de formation dans l’intégration de l’IA et la digitalisation des formations afin de rester compétitifs et performants.

Pour acquérir les compétences nécessaires pour vous épanouir et exceller dans le cadre d’une reconversion professionnelle comme formateur, une formation reste indispensable. 

Prenez le temps de choisir LA bonne formation avant de vous lancer, toutes ne fournissent pas les mêmes garanties d’employabilité. Côté financement, passez en revue toutes les options qui vous sont ouvertes.

Bonne formation !

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Comment se reconvertir dans la gestion de projet ?

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Vous êtes rigoureux et organisé ? L’encadrement d’équipes transverses dans la réalisation de projets vous intéresse ? Une reconversion dans la gestion de projet est alors probablement faite pour vous ! Elle mobilise de nombreuses compétences que vous pourrez rapidement acquérir en suivant une formation courte et certifiante. Le chef de projet fait aujourd’hui partie des acteurs phares de la réussite d’une entreprise. Comment se reconvertir dans la gestion de projet ? Découvrez l’essentiel à savoir.

Réunion d'équipe présidée par une collaboratrice

La gestion de projet, c’est quoi ?

Un projet, c’est une succession d’étapes à réaliser pour atteindre un but défini. 

Voici les phases les plus importantes : 

  • La phase de conception et la rédaction d’un cahier des charges qui cadre le projet : ressources humaines et ressources matérielles, budget, délais, analyse des risques, méthode de travail.
  • L’étape de planification des grandes étapes du projet : le planning, les livrables.
  • La conception.
  • Le déploiement du projet.
  • Les tests.
  • La phase de clôture du projet.
  • La phase de bilan.

La gestion de projet, c’est la bonne organisation de toutes ces étapes pour que le projet aboutisse dans les meilleures conditions possibles.

La gestion de projet peut être : 

  • Transversale : elle mobilise plusieurs équipes, de différents services de l’entreprise, qui œuvrent vers un intérêt commun.
  • Horizontale : elle mobilise les salariés d’une même équipe.

Dans le langage courant, au sein des entreprises, on parle souvent d’une organisation en mode projet. C’est une organisation de travail spécifique qui vise à faire intervenir différentes équipes pour travailler ensemble sur un projet précis.Bon à savoir : on parle de gestion de projet, mais vous pouvez aussi entendre les termes conduites de projet. Ils signifient la même chose.

À qui est confiée la gestion de projet dans l’entreprise ?

Pour plus d’efficience, la gestion du projet est généralement confiée à une seule et même personne, ou à une équipe dédiée selon la taille du projet : le chef de projet.

Il est un peu le chef d’orchestre :  

  • Celui qui fixe le cadre de travail, puis le bon tempo pour arriver à ses fins dans le temps imparti.
  • Celui qui coordonne les différents collaborateurs qui interviennent sur le projet. Il répartit les tâches, il résout les difficultés et répond aux questions.

Il intervient des balbutiements du projet jusqu’à son déploiement effectif.

Bon à savoir : le chef de projet et le product owner n’exercent pas les mêmes métiers. Leurs missions sont distinctes, bien qu’ils œuvrent pour la réussite de l’entreprise. Attention à ne pas les confondre.

Faut-il se reconvertir dans la gestion de projet ?

À n’en pas douter, la gestion de projet a le vent en poupe au sein des entreprises. Elle brise les anciennes organisations de travail en silo qui ne sont plus adaptées à l’ère numérique.

Elle présente l’énorme avantage de faire travailler ensemble des équipes aux savoirs variés sur un même projet. 

En mutualisant les forces et en créant une bonne synergie d’équipes, les projets aboutis ont une plus grande valeur. L’entreprise gagne en efficacité et en productivité.

La conséquence de ce succès se retrouve sur le marché de l’emploi. Les organisations recrutent de nombreux chefs de projet. Vous reconvertir dans cette voie est une excellente idée, vous multipliez les chances de trouver l’offre d’emploi qui vous conviendra le mieux.

Quelles sont les compétences attendues pour se reconvertir dans la gestion de projet ?

La gestion de projet mobilise des savoir-faire et des savoir-être essentiels pour exceller dans l’organisation et la planification de projets cruciaux pour les entreprises.

Les hard skills de la gestion de projet

La conduite de projet peut être menée avec différentes méthodes. Toutes doivent être connues du chef de projet, afin de sélectionner la méthode qui correspond le mieux au projet en cours et à l’esprit de l’entreprise : 

  • La méthode Agile.
  • La méthode en cascade.
  • PRojects IN Controlled Environments (Prince2).
  • La méthode du chemin critique.
  • La méthode PERT.
  • Le lean management.
  • Le scrum.

Le travail collaboratif nécessite d’utiliser des outils spécifiques : de reporting, de communication, des tableaux de bord, des logiciels de gestion… Le chef de projet doit savoir les manier à la perfection et en tirer tous leurs avantages. 

Par exemple, il doit maîtriser les outils Slack et Jira. Mais aussi le Kanban et le Diagramme de Gantt.

Il doit aussi avoir des compétences en management car il encadre une équipe entière, attribue des tâches à chacun et veille au respect des objectifs fixés.

Enfin, il doit connaître et comprendre les aspects techniques du projet. Son rôle est d’épauler les équipes dans la réalisation de celui-ci.

Les soft skills de la gestion de projet

De nombreuses compétences comportementales sont nécessaires pour exceller comme chef de projet.

Notamment : 

  • L’organisation.
  • La rigueur.
  • Une bonne communication.
  • Une bonne gestion du stress pour faire face à différents imprévus.

La résolution de problème lorsqu’il s’agit de trouver rapidement des solutions à un obstacle imprévu.

Comment se former à la gestion de projet ?

La gestion de projet, ou conduite de projet, s’apprend. Y compris dans le cadre d’une reconversion professionnelle.

De nombreuses formations continues proposent d’acquérir les bases de la gestion de projet. 

Evocime est un organisme de formation reconnu. Il propose 3 formations en management et en gestion de projet qui pourraient vous intéresser : 

D’une durée de 399 heures, 3 mois, ces formations courtes s’intègrent parfaitement dans un parcours de reconversion professionnelle. Elles aboutissent toutes sur des certifications reconnues.

Bon à savoir : Evocime vous accompagne tout au long de votre parcours de formation pour travailler au mieux votre employabilité. Les parcours de formation sur la gestion de projet incluent un pack Ascension dans lequel une équipe RH/Formation dédiée à votre projet vous donne toutes les clés pour réussir votre reconversion professionnelle.

Où trouver un travail de chef de projet ?

Partout en France

Toutes les entreprises qui établissent des projets pour se développer et rester compétitives ont besoin de talents pour les encadrer et les mener à bien.

Elles sont susceptibles de recruter des chefs de projet reconvertis : 

  • De la start-up au grand groupe.
  • Dans tous les secteurs d’activités : dans le BTP, dans la communication, dans l’informatique, dans les ressources humaines…
  • Dans les entreprises du secteur public ou du secteur privé.
  • En freelance ou salariés.

Gestion de projet, ce qu’il faut retenir

La gestion de projet est au cœur de la stratégie de toutes les entreprises. Elle fonctionne par étapes. Cette organisation du travail a fait ses preuves. Elle mise sur le collaboratif plus que sur l’individualisme.

Pour être couronnée de succès, la conduite de projet est mise en place et menée par un chef de projet. C’est lui qui sélectionne la méthode de gestion de projet la plus adaptée. Mais aussi les bons outils pour mieux collaborer.

Vous reconvertir dans cette voie est une excellente option si vous êtes rigoureux, organisé et que vous aimez travailler avec les outils digitaux. 

Une formation en management et en gestion de projet de qualité vous enseigne les compétences clés pour diriger des équipes et réussir des projets.

Bonne reconversion ! 

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3 étapes incontournables pour se reconvertir dans le développement commercial

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Les métiers du développement commercial vous intéressent ? Bonne nouvelle, ils sont accessibles par la voie de la reconversion professionnelle et les employeurs recrutent. Les profils spécialisés pour développer la croissance des entreprises ont particulièrement le vent en poupe. Pour atteindre votre objectif professionnel et réussir votre changement de cap, certaines étapes doivent être suivies. Lesquelles ? Nous vous dévoilons pas à pas les actions à mettre en place pour accéder au développement commercial en toute sérénité.

Apprenante concentrée sur son ordinateur (2)

Etape 1 : définir son projet de reconversion dans le développement commercial

Pour entreprendre sereinement un changement de vie professionnelle, il est important de bien cadrer ses attentes et de définir son objectif.

Faire carrière dans le développement commercial ça veut dire quoi ?

Le développement commercial est une stratégie mise en place au sein d’une entreprise pour : 

  • Augmenter son chiffre d’affaires. Notamment, en améliorant les performances commerciales (les ventes).
  • Aider à sa croissance durable.
  • Assurer son positionnement, sa compétitivité et son rayonnement sur le marché.

Il est un pilier essentiel de la réussite d’une entreprise.

Il se déploie sur les différents canaux de vente : 

  • La vente physique. 
  • La vente par téléphone.
  • La vente en ligne. L’essor du e-commerce ces dernières années a propulsé sur le devant de la scène des profils spécialisés dans le développement commercial digital (réseaux sociaux, sites internet…).

La stratégie de développement commercial établie peut prévoir d’actionner plusieurs leviers pour accroître les performances de l’entreprise :

  • Fidéliser le portefeuille de clients existants.
  • Dénicher de nouvelles opportunités commerciales.
  • Démarcher de nouveaux clients.
  • Augmenter le panier moyen des dépenses par client.

Quels sont les métiers du développement commercial recherchées par les entreprises ?

Le développement commercial est mené par des professionnels formés et embauchés spécifiquement pour atteindre les objectifs de croissance et de business fixés par l’entreprise. 

Pour mener l’organisation vers la réussite commerciale, il doit être confié à 1 expert, ou plusieurs selon la taille de l’entreprise, aguerri et rompu aux techniques commerciales.

Notamment : 

  • La prospection commerciale.
  • La négociation commerciale.
  • L’optimisation des stratégies de vente.
  • Le suivi de la relation client.
  • La conclusion de deal.

Le talent chargé du développement commercial doit aussi maîtriser à la perfection les produits et les services vendus par l’entreprise pour adapter au mieux sa stratégie.

L’essor du digital a fait naître de nouveaux métiers pour répondre à de nouveaux enjeux de croissance tout en intégrant dans la stratégie les dernières tendances numériques

Ces profils sont particulièrement recherchés par les employeurs. Les salaires sont à la mesure des enjeux pour les entreprises : élevés. 

Si vous souhaitez vous reconvertir dans le développement commercial, vous ne le regretterez pas. Vous êtes assuré de trouver un emploi rapidement, avec un salaire très confortable.

Bon à savoir : la force commerciale de l’entreprise marche main dans la main avec les équipes marketing et communication pour soutenir les offres proposées, atteindre les objectifs et booster le business. 

Etablir un plan de reconversion efficace

Vous ne pourrez pas improviser une reconversion professionnelle du jour au lendemain. Elle doit être réfléchie et organisée pour viser le bon métier et ne pas regretter. Préparer un plan d’action est une bonne idée.

En amont de votre projet, assurez-vous que c’est bien un changement de métier dont vous avez besoin. Pour cela, il est nécessaire d’identifier les raisons qui vous poussent à vous reconvertir. L’objectif est d’exclure un plus simple changement d’employeur, d’équipe ou de secteur.

Par exemple : 

  • Une quête de sens au travail.
  • Un meilleur salaire.
  • Un nouvel équilibre vie personnelle – vie professionnelle.

Ensuite, vous devrez cibler un métier en particulier qui répond à vos exigences professionnelles et qui offre de réels débouchés. Si vous choisissez l’un des métiers du développement commercial pour votre reconversion, rassurez-vous, vous n’aurez pas de difficultés de recrutement. 

Enfin, un virage professionnel s’accompagne très souvent d’une formation complémentaire pour acquérir des compétences manquantes. L’identification de vos atouts et de vos faiblesses pour exercer votre futur métier dans le développement commercial est primordiale. 

Notre conseil : dans votre parcours de reconversion vers l’un des métiers du développement commercial, n’hésitez pas à vous faire accompagner par un spécialiste. De même, si vous êtes un peu perdu face à l’offre de métiers possibles, réaliser un bilan de compétences peut être d’une grande aide. Vous pourrez le financer avec votre CPF.

Etape 2 : suivre une formation en développement commercial

Rares sont les profils qui n’auront pas besoin d’une formation pour se reconvertir en biz dev ou en consultant e-commerce. Celle-ci vous apporte les compétences nécessaires mais aussi un réseau professionnel non négligeable dans votre quête d’emploi.

Quelle formation en développement commercial choisir ?

Si vous êtes sur le chemin d’une reconversion professionnelle, il est inutile de repartir de zéro dans le cadre de la formation initiale pour atteindre le métier cible.

La formation continue est parfaitement adaptée à votre profil en reconversion commerciale. Elle vous apporte les savoir-faire (hard skills) et les savoir-être (soft skills) indispensables pour exceller dans toutes vos futures missions. 

Courte, intense, professionnalisante, la formation choisie doit répondre à toutes les attentes des recruteurs sur le marché de l’emploi. D’où l’importance d’étudier le programme de formation et la qualité des intervenants.

Par exemple, Evocime est un organisme de formation reconnu. 2 solides formations en développement commercial sont proposées : 

L’enseignement proposé vous donne les bases des métiers visés, en 3 mois. Une certification garantit votre bon niveau de compétences auprès des entreprises.

Comment financer sa formation en développement commercial ?

Les organismes de formation proposent différentes modalités de financement des cours dispensés.

Les demandeurs d’emploi en reconversion peuvent suivre les formations Evocime commerçant e-commerce et digital business developer dans le cadre de la Préparation Opérationnelle à l’Emploi Collective (POEC). Les formations seront entièrement prises en charge si vous êtes inscrit à France Travail.

Etape 3 : chercher un emploi dans le développement commercial

Comme pour toute recherche d’emploi, vous passerez difficilement à côté du triptyque CV, lettre de motivation et entretien d’embauche. Même en reconversion.

Votre CV reflète votre parcours professionnel. Il doit être à jour de vos dernières formations pour témoigner des compétences acquises en développement commercial.

Une formation de qualité, reconnue sur le marché de l’emploi est pour vous l’assurance de rapidement séduire un recruteur. Elle est un bon indicateur sur votre niveau de compétences.

Bon à savoir : un bon organisme de formation doit avoir de bonnes relations avec les employeurs du secteur et doit pouvoir vous transmettre des contacts pour vous accompagner dans votre recherche d’emploi.

Développement commercial et reconversion, ce qu’il faut retenir

Le développement commercial est particulièrement prisé des entreprises pour établir une solide stratégie de croissance. Rares sont celles qui s’en privent pour accroître leurs résultats financiers, tout en intégrant l’essor du digital et de ses outils. 

Corollaire indispensable, la demande de talents qualifiés capables de mettre en place une stratégie solide est en forte hausse. Les entreprises peinent parfois à en trouver.

Vous avez un projet de reconversion ? Tous les indicateurs sont au vert, les métiers du développement commercial sont très recherchés. N’omettez pas de suivre une formation adaptée pour acquérir les compétences nécessaires sur ces types de poste et séduire les recruteurs.

Un processus de reconversion bien préparé a toutes les chances d’aboutir.

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Comment se reconvertir dans les ressources humaines (RH) ?

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Se reconvertir dans les ressources humaines (RH), ça ne s’improvise pas du jour au lendemain. Pour que votre projet aboutisse dans les meilleures conditions, il est fondamental de prendre le temps d’y réfléchir. Un changement de métier prend du temps et à nécessairement des implications financières. Comment se reconvertir dans les ressources humaines ? Découvrez 5 étapes indispensables pour que votre changement de carrière soit couronné de succès.

Collaborateur concentré sur ses missions

Etape 1 pour une reconversion réussie dans les ressources humaines : choisir un métier des RH qui recrute

Bonne nouvelle, les métiers des ressources humaines (RH) sont nombreux et ont le vent en poupe. Ces professionnels ont un vrai rôle à jouer au sein des entreprises pour élaborer et mettre en place des politiques de recrutement efficaces. Mais également pour développer les compétences des collaborateurs en poste.

Il y a de grandes chances que vous trouviez un métier fait pour vous parmi tous ceux disponibles. En voici quelques-uns (cette liste n’est pas limitative) : 

  • Le recrutement : 
    • Chargé de recrutement / responsable de recrutement.
  • La gestion de carrière : 
  • L’administration RH : 
    • Gestionnaire paie / responsable paie.
    • Responsable des relations sociales.
  • La stratégie RH

Avec une si grande diversité, les missions des professionnels des ressources humaines sont nécessairement variées. Selon l’emploi et les responsabilités occupées, elles peuvent viser : 

  • Le recrutement de nouveaux talents : mise en place d’une procédure d’embauche efficace.
  • Le développement des compétences internes : mise en place de formations.
  • La création d’une culture d’entreprise positive.
  • Le rayonnement de l’entreprise (la marque employeur).
  • La gestion administrative des salariés (élaboration des bulletins de salaire, gestion des congés payés et des RTT, gestion des absences pour maladie…).

Cette richesse s’explique par le rôle pivot et transverse des ressources humaines au sein des organisations. Celles-ci se doivent de demeurer toujours attractives pour pérenniser les effectifs. Les enjeux pour attirer de nouveaux talents et pour fidéliser ceux déjà en poste sont devenus fondamentaux. Encore plus lorsque l’entreprise doit séduire des candidats sur des emplois en tension.

Notre conseil : renseignez-vous sur le panel de métiers possibles dans les RH. Certains profils sont très recherchés. Pour vous assurer les meilleures chances de trouver un emploi, pourquoi ne pas vous tourner vers eux ?! En 2024, les employeurs cherchent des : 

  • Gestionnaires / responsables de Paie et Administration du Personnel (ADP).
  • Chargés / responsables de recrutement.
  • Responsable RH.
  • Assistant RH.
  • Chargé / responsable de formation 

(source : étude de rémunérations Michael Page, 2024).

Etape 2 : faire le point sur les compétences manquantes pour réussir sa reconversion dans les RH

Après avoir sélectionné le métier qui occupera votre nouvelle carrière professionnelle, il est important de faire le point sur les compétences attendues par les recruteurs. Tant concernant les soft skills (compétences comportementales) que les hard skills (compétences techniques).

Pour vous donner les meilleures chances de réussir votre reconversion dans les RH, votre profil doit répondre à ces besoins concrets. Les attentes des employeurs ne seront pas les mêmes selon que vous visez un poste de gestionnaire de paie ou de chargé des ressources humaines.

Vous devez alors identifier dans votre CV les savoir-faire et les savoir-être déjà acquis, mais aussi ceux que vous ne possédez pas encore. Certaines de vos compétences transférables peuvent également être valorisées.

N’hésitez pas à vous entourer de professionnels pour vous épauler dans cette tâche. Il n’est pas toujours évident de réaliser un audit de sa palette de compétences. Par exemple, n’hésitez pas à solliciter l’aide d’un conseiller Apec, si vous êtes cadre, ou d’un conseiller en évolution professionnel (CEP) dans le cadre d’un projet de transition professionnel (PTP).

Notre conseil : plus largement, si vous êtes un peu perdu dans votre parcours de reconversion professionnelle, vous pouvez aussi réaliser un bilan de compétences pour vous aider à y voir plus clair. Vous pouvez le financer avec votre CPF.

Etape 3 : sélectionner une formation RH de qualité

La formation continue est la voie royale lorsque vous souhaitez changer de métier. Elle vous permet de vous former sur votre temps de travail, ou sur votre temps libre.

Vous avez sélectionné le métier de vos rêves et identifié les lacunes sur lesquelles travailler avant de postuler ? Il ne vous reste plus qu’à sélectionner la formation parfaite dans les RH pour vous aider à les combler.

Une formation de qualité, reconnue sur le marché de l’emploi est pour vous l’assurance de rapidement séduire un recruteur.

Il existe de nombreux organismes de formation. Comment choisir le bon ? Plusieurs critères peuvent vous permettre de sélectionner celui qu’il vous faut : 

  • Le métier visé par la formation. Il doit permettre de prétendre à l’emploi dans les RH de votre choix.
  • Le programme de formation. Il doit répondre aux attentes des employeurs.
  • Les conditions d’admission.
  • La qualité des intervenants. Les formations dispensées par des professionnels vous permettent de comprendre et de répondre aux besoins concrets des entreprises.
  • La durée de la formation.
  • Les sessions de formation au cours de l’année.
  • Son prix. Elle peut être finançable par un autofinancement, votre CPF, une participation de votre employeur…
  • L’organisation du temps de formation : présentiel, distanciel, hybride.
  • La certification ou la qualification délivrée à l’issue des examens. Pour garantir votre embauche.
  • Le taux d’embauche.
  • Le réseau de l’organisme de formation.

Notre conseil : Evocime est un organisme de formation reconnu, spécialisé en RH, management, gestion de projet, ingénierie pédagogique et commerce. Il propose des formations RH de qualité pour tous ceux qui souhaitent changer de métier. Notamment : 

Etape 4 : mettre à jour son CV

Pour mettre en valeur votre profil, le CV est un passage obligé. Y compris dans le cadre d’une reconversion. C’est un peu votre vitrine professionnelle. Il doit alors être à jour de votre dernière formation et des savoirs acquis.

À vous de trouver la solution idéale en termes de présentation pour valoriser votre parcours et tous vos atouts.

Etape 5 : concrétiser sa reconversion professionnelle dans les ressources humaines

Ultime étape d’une reconversion réussie, l’embauche ! 

Parcourez les différentes annonces d’emploi, faites fonctionner votre réseau pro, démarchez spontanément les entreprises de vos rêves. L’objectif est de vous rendre visible sur le marché.

Notre conseil : un bon organisme de formation doit avoir de bonnes relations avec les employeurs du secteur et doit pouvoir vous transmettre des contacts. 

 

Reconversion dans les RH, ce qu’il faut retenir

Les métiers des ressources humaines présentent plusieurs atouts si vous souhaitez vous reconvertir : 

  • Ils sont variés.
  • Ils sont recherchés par les recruteurs.
  • Ils sont accessibles par la formation continue.

Une reconversion réussie est nécessairement réfléchie : 

  • Choix du nouveau métier.
  • Audit des compétences à acquérir.
  • Sélection d’un organisme de formation de qualité.
  • CV actualisé.
  • Recherche d’emploi.

En suivant toutes ces étapes, votre changement de carrière n’a jamais été aussi accessible ! Bonne reconversion.

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Formation management : comment choisir la bonne ?

Date :

La fonction de manager vous attire ? Vous souhaitez encadrer une équipe ? Bonne nouvelle, la voie de la formation continue vous permet d’acquérir toutes les compétences indispensables pour évoluer vers un poste à responsabilité et garantir votre employabilité. Comment choisir la bonne en management ? Quels critères regarder ? Quels sont ses atouts ? Découvrez l’essentiel à savoir avant de vous lancer dans votre nouvelle carrière !

Visio entre collègues

Qu’est-ce qu’une formation continue en management ?

La formation professionnelle continue est une formation destinée aux personnes actives sur le marché de l’emploi

La formation continue vous permet d’acquérir de solides bases pour évoluer dans votre entreprise, tout en vous permettant de poursuivre vos fonctions. 

L’évolution visée peut être horizontale ou verticale. Elle permet aussi de concrétiser un projet de reconversion professionnelle ou de diversifier votre CV pour vous aider à retrouver un emploi.

Le management fait partie des compétences accessibles avec ce type de formation.

Notre conseil : pour vous permettre de valoriser vos acquis, il est important que la formation choisie débouche sur une certification ou une qualification.

Bon à savoir : la formation initiale en management s’adresse aux étudiants qui ne sont pas encore actifs sur le marché du travail. 

Qui peut suivre une formation en management ?

De nombreux talents peuvent suivre une formation en management.

Notamment : 

  • Les salariés en poste, peu importe le type de contrat de travail.
  • Les demandeurs d’emploi.

Les talents en reconversion professionnelle. Par exemple, les personnes qui se reconvertissent en CDI.

Pourquoi choisir une formation continue en management pour évoluer au sein de son entreprise ?

Faire le choix de se former tout au long de votre carrière, c’est une stratégie payante pour étoffer sa palette de compétences et garantir son employabilité.

La formation continue présente de nombreux atouts.

Elle prend en compte les impératifs des personnes actives ou en recherche d’emploi, et notamment leur temps disponible pour se former. À ce titre, de nombreux organismes de formation ont développé des enseignements courts qui s’adaptent parfaitement aux différents emplois du temps.

Evocime, soucieux de faciliter l’apprentissage de tous en incluant les outils numériques disponibles, propose ses formations continues en management en blended learning. C’est-à-dire en alternant des temps en présentiel et des temps en distanciel. 

Les cours proposés sont pensés pour donner immédiatement les clés pour une prise de poste réussie. C’est pour répondre à cette attente qu’Evocime propose des cours d’une durée de 3 mois (399 heures).

En d’autres termes, le format et le contenu de ces formations présentent des solutions idéales pour les salariés ne pouvant pas se permettre de reprendre leurs études. Elles sont de véritables tremplins pour évoluer dans le cadre d’une mobilité interne, d’un changement d’employeur ou d’une reconversion professionnelle.

Quelles formations en management choisir ?

L’offre de formations en management existantes est variée afin de répondre aux besoins précis des entreprises et des collaborateurs.

Les enseignements dispensés peuvent : 

  • Transmettre les bases du management, pour des salariés novices sur ce type de responsabilité.
  • Accentuer sur une technique managériale précise pour donner des clés à un manager déjà en poste.
  • Former à des outils spécifiques.

Afin de faire le bon choix de formation management, voici plusieurs conseils

  • Définissez avec votre employeur les objectifs de cette formation.
  • Abordez avec lui la question du rythme travail / formation. Celle-ci aura-t-elle lieu sur vos heures de travail ? Sur votre temps libre ? 
  • Quelles sont les différentes formations disponibles sur le marché qui répondent à vos besoins ?
    • Focus sur les objectifs pédagogiques.
    • Focus sur les compétences visées.
  • Quelles sont les conditions d’admission ?
  • Quelle est la durée de la formation proposée ?
  • Quand la session de formation est-elle organisée ?
  • Sur quoi débouche la formation ? Une certification ? Un diplôme ? 
  • Comment les enseignements se déroulent-ils ? En présentiel, à distance, dans les locaux de l’organisme ? Dans quelle ville (Paris, Lyon, Nantes, Poitiers…) ?
  • Qui enseigne ? La qualité des intervenants est essentielle.
  • Combien coûte la formation et comment pouvez-vous la financer ?

Votre employabilité doit être au cœur des préoccupations de l’organisme de formation de votre choix.

Evocime est un acteur reconnu sur le marché de la formation continue. Le management fait partie de son offre de formation : 

Elles débouchent toutes sur : 

  • Un certificat de réalisation.
  • Une attestation de compétences.
  • Une certification des compétences numériques PIX (RS3807).
  • CléA Management (RS6269), pour la formation manager de transition.

Notre conseil : si vous êtes en poste, il est très important de co-construire votre projet de formation avec votre employeur. Par exemple, dans le cadre du plan de développement des compétences.

Quels sont les avantages d’une formation en management ?

Une bonne formation en management doit livrer l’ensemble des soft skills et des hard skills nécessaires pour donner toutes les clés de succès aux futurs managers.

Quelles sont-elles ?

Un bon manager est sensible à l’efficacité opérationnelle de son équipe. Il soutient et encourage ses membres.

Il doit alors mettre en place la meilleure stratégie pour lui permettre d’atteindre ses objectifs. Sans être omniprésent. 

Pour cela, il est essentiel qu’il sache : 

  • Planifier.
  • Coordonner ses ressources.
  • Maîtriser les budgets.
  • Bien communiquer avec ses collaborateurs mais aussi les instances dirigeantes de l’entreprise. 
  • Offrir une vision globale des missions et des enjeux qui attendent le collectif.
  • Mettre en place une gestion de projet efficace.

Un leadership inspirant est fondamental pour motiver l’équipe, résoudre les conflits et prendre des décisions stratégiques.

Notre conseil : prenez toujours connaissance des programmes de formation avant de vous engager. Ils doivent répondre aux préoccupations majeures des entreprises pour un poste de manager.

Comment financer une formation en management ?

De nombreuses modalités de financement existent pour vous permettre de suivre une formation en management : 

  • Si vous êtes demandeurs d’emploi et que vous souhaitez suivre les formations Manager Agile et Connecté ou Repreneur et Création d’Entreprise d’Evocime : elles sont accessibles et entièrement prises en charge dans le cadre de la Préparation Opérationnelle à l’Emploi Collective (POEC) si : 
    • Vous êtes inscrit auprès de France Travail.
    • Vous visez un métier porteur
  • Si vous êtes en poste avec un certain niveau de formation et que vous souhaitez suivre la formation Manager de transition, vous pouvez : 
    • L’autofinancer. Evocime propose également des facilités de paiement. 
    • Faire appel à l’un des dispositifs de financement existant : 
      • Votre CPF.
      • Le plan de développement des compétences. Le coût de la formation est alors pris en charge par votre employeur.
      • Le PTP (Projet de Transition Professionnelle).
      • La Reconversion ou promotion par alternance, Pro-A.

Notre conseil : renseignez-vous auprès d’Evocime pour évoquer votre cas particulier et les modalités de financement possibles.

Bon à savoir : la formation Manager de transition est accessible avec une certification professionnelle à minima de niveau 5 (bac+2) ou avec une expérience professionnelle de 3 à 5 ans dans le numérique ou l’environnement.

Formation en management, ce qu’il faut retenir

Une formation en management représente un véritable tremplin si vous souhaitez viser une responsabilité de manager. Elle vous permet d’acquérir toutes les compétences nécessaires pour exceller dans ce nouveau challenge professionnel.

Plusieurs critères doivent être passés au crible avant de vous décider sur une formation plus qu’une autre : 

  • Le temps de formation : sur vos heures de travail ou en dehors ?
  • Les objectifs pédagogiques de la formation.
  • Les compétences délivrées.
  • Les conditions d’admission.
  • La certification ou la qualification obtenue.
  • Les modalités de formation et les formats proposés : en présentiel, à distance, dans les locaux de l’organisme.
  • La durée de la formation.
  • La qualité des intervenants.
  • Le prix de la formation.
  • Les modalités de financement : CPF, POEC, plan de développement des compétences, autofinancement…

Le choix de l’organisme de formation est donc essentiel. Ne vous précipitez pas et comparez les offres disponibles avec votre employeur pour faire le meilleur choix ! 

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Comment se reconvertir à 30 ans ?

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Vous avez 30 ans et vous souhaitez vous lancer dans une reconversion professionnelle ? Plusieurs raisons légitimes peuvent vous pousser à changer de cap. Besoin d’un nouvel équilibre vie professionnelle vie personnelle, erreur d’orientation, nouvelle opportunité qui s’offre à vous… Si vous êtes motivé, rien n’est impossible. Comment se reconvertir à 30 ans ? Découvrez pas à pas les étapes à ne pas louper pour un virage à 360° réussi à la trentaine.

Réunion d'équipe présidée par une collaboratrice

Étape 1 d’une reconversion à 30 ans : faire le point sur sa situation professionnelle

Vous avez déjà quelques années d’expérience professionnelle derrière vous à 30 ans. Il est donc utile de faire le point sur votre situation actuelle pour vous fixer un cap de reconversion professionnelle.

Lister ce qui vous plaît dans votre job actuel

Rare sont les situations qui sont où toutes blanches ou toutes noires. Il y a souvent du bon à prendre dans votre profession actuelle, même si tout n’est pas parfait et que vous souhaitez vous reconvertir.

Par exemple, si vous êtes commercial, peut-être que la relation client est un aspect de votre métier qui vous plaît. Tout comme la performance commerciale.

L’idée de ce premier petit travail introspectif est de lister toutes les tâches que vous aimez faire dans votre quotidien professionnel. Bien les connaître vous permet de mieux affiner votre projet de reconversion professionnelle et de viser le bon secteur d’activité ou le bon métier. 

Lister ce qui ne vous plaît pas : ce qui motive votre projet de reconversion

À l’inverse de l’exercice qui précède, certaines missions de votre emploi peuvent fortement vous désintéresser. C’est le moment de les identifier pour vous assurer que vous ne croiserez plus leur chemin dans vos expériences futures.

Par exemple, vous ne supportez plus les multiples reportings à réaliser dans votre métier de commercial ? À l’avenir, il vous faudra cibler des fonctions avec plus d’autonomie. 

Les raisons qui motivent votre reconversion professionnelle à 30 ans peuvent aussi se situer sur le plan des valeurs ou des conditions de travail : 

  • Vous cherchez un emploi avec plus de sens.
  • Vous cherchez une entreprise éthique.
  • Vous cherchez un meilleur équilibre vie personnelle – vie professionnelle.
  • Vous cherchez un meilleur salaire.
  • Vous cherchez plus de reconnaissance.
  • Après un burn-out, vous cherchez une entreprise qui affiche le bien-être au travail de ses salariés en top de ses priorités.

Bien les identifier est primordial pour que votre projet de reconversion soit couronné de succès.

Hiérarchiser vos priorités professionnelles

Après avoir identifié les raisons qui motivent votre changement de cap professionnel, il est important de les hiérarchiser. Toutes ne sont pas forcément à mettre sur le même plan.

Partir en quête du job idéal peut parfois s’avérer plus difficile que prévu. En ayant priorisé vos souhaits professionnels, vous serez plus en capacité de savoir où faire des compromis.

Étape 2 : se reconvertir, mais dans quoi ?

Une reconversion professionnelle peut être l’aboutissement d’un rêve d’enfant jamais encore exaucé. Mais pour certains actifs, il peut être plus difficile d’identifier le prochain métier.

Il est alors possible de s’entourer d’un coach de la reconversion. Il vous aidera à y voir plus clair sur les pistes professionnelles à suivre à 30 ans. L’Apec, Pôle emploi ou encore le Conseil en évolution professionnelle (CEP) mettent à votre disposition des professionnels qualifiés pour vous accompagner dans vos choix de carrière.

Si vous êtes un peu perdu sur l’étendue de vos compétences acquises, sur vos compétences transférables, sur les atouts ou les faiblesses de votre profil, un bilan de compétences peut aussi vous être proposé.

Construire un projet réaliste qui tient la route est votre priorité pour une reconversion réussie. C’est même la clé pour éviter toute désillusion entre ce que vous espériez de votre futur métier et la réalité de terrain.

Reconversion vers un métier sans diplôme

En pleine préparation de votre projet de reconversion professionnelle, vous pouvez vous orienter vers un métier qui ne nécessite pas de diplôme précis. 

Certains secteurs d’activité permettent une reconversion immédiate, sans passer par la case formation. Les métiers de la restauration, du transport, de la logistique et de la vente en sont des exemples.

Parfois même, ce sont les entreprises qui recrutent qui forment directement leurs nouveaux collaborateurs. C’est par exemple le cas de l’immobilier. La motivation est alors le moteur, plus que l’âge.

Reconversion vers un métier avec diplôme

Les emplois qui exigent des connaissances pointues ou des techniques particulières ne sont accessibles qu’après avoir suivi une formation et obtenu un diplôme.

C’est par exemple le cas des métiers manuels, des métiers du secteur de la santé ou de ceux de l’informatique.

Reconversion dans l’entrepreneuriat

À 30 ans, et après une dizaine d’années d’expérience, vous avez peut-être envie de vous lancer à votre compte.

Créer ou reprendre une entreprise ne s’improvise pas du jour au lendemain. Mieux vaut avoir de solides bases de connaissance pour éviter toutes les embûches.

Reconversion vers un métier d’avenir

Prenez garde de vous réorienter vers un métier porteur ces prochaines années. Inutile d’investir du temps et de l’argent pour un emploi qui n’embauche plus.

Pour vous assurer que vous ne rencontrerez pas de difficulté d’emploi, faites un tour sur les jobboards et consultez le nombre d’offres d’emploi disponibles. Si elles sont nombreuses, c’est bon signe.

Étape 3 d’une reconversion professionnelle à 30 ans : choisir la bonne formation

La formation initiale, si vous reprenez vos études de zéro, et la formation continue permettent d’atteindre votre objectif professionnel de reconversion à 30 ans. Elles vous donneront un socle de connaissances et de compétences nécessaires pour exceller dans vos nouvelles fonctions.

Reste à trouver la formation adaptée.

Par exemple, si vous vous orientez vers les métiers des RH, du management, de la gestion de projet et du commerce, les formations d’Evocime sont faites pour vous. De nombreux programmes certifiants ont été élaborés pour vous permettre de vous donner les bases d’un métier, en 3 mois : 

Bon à savoir : votre CPF peut vous aider à financer votre formation dans le cadre d’une réorientation. Renseignez-vous directement auprès de l’organisme de formation sélectionné.

Étape 4 : quitter son entreprise pour une reconversion à 30 ans réussie

Si vous êtes en poste au moment de votre reconversion professionnelle, profitez de cette sécurité financière pour établir des bases stables et bien débroussailler votre projet.

Votre CDD ou votre CDI vous permet de toucher chaque mois votre salaire, tout en peaufinant vos nouveaux objectifs professionnels.

Selon votre besoin en formation et les modalités de cette dernière, vous pourrez parfois apprendre les bases de votre nouveau métier tout en continuant à travailler. Soit que vous suiviez des cours du soir ou pendant un congé sans solde, soit que votre employeur accepte que vous vous formiez sur votre temps de travail.

Lorsque vous serez prêt, plusieurs possibilités s’offrent à vous pour rompre votre contrat de travail : 

  • La démission.
  • La rupture conventionnelle.

Reconversion professionnelle à 30 ans, ce qu’il faut retenir

Les trentenaires peuvent parfaitement se reconvertir. Après quelques années d’expérience, il est même plus facile d’identifier ce qui est important et ce qui ne l’est pas dans la sphère professionnelle.

Si votre carrière future est plus nébuleuse, l’accompagnement et les conseils d’un coach peuvent vous permettre d’y voir plus clair. Tout comme la réalisation d’un bilan de compétences, finançable avec votre CPF.

Pour une reconversion professionnelle réussie à 30 ans, suivre un plan d’action est nécessaire pour se donner les meilleures chances d’atteindre son objectif : 

  1. Faire le point sur sa situation actuelle.
  2. Identifier un secteur ou un métier de reconversion.
  3. Choisir la formation qu’il vous faut (reprendre ses études ou opter pour la formation continue).
  4. Quitter son employeur actuel.

À la trentaine, votre changement de carrière professionnelle est à portée de main ! 

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